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« Avec cet ouvrage très érudit, l’auteure nous prouve que si des sociétés sont capables de vivre sans violence, c’est que celle-ci n’est ni naturelle, ni universelle, ni incontournable. Elle donne ainsi tort aux thèses développées par Freud dans l’essai Malaise dans la civilisation qui considère que le désir d’appropriation, l’agressivité, le désir d’humilier, d’abuser sexuellement, et d’infliger des souffrances correspond à la nature profonde de l’homme. Cet ouvrage est donc salutaire : dénaturaliser la violence est le préalable indispensable à la lutte contre la violence. Car si l’humanité est impuissante devant les décrets de la nature, elle a au contraire le pouvoir de défaire ce que l’histoire a fait. Ce livre n’a donc pas seulement le mérite de mettre au jour les premiers récits mythologiques de l’humanité, il possède également une forte dimension politique et émancipatrice. »

Olivia Gazalé

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