Ecritures

Mars 2019

Aux éditions du Cygne 2019 (collection les mythes revisités) :

couv rectoLes figures symboliques du Féminin et du Masculin
De la préhistoire à la mythologie

Préface Olivia Gazalé

Des scènes pariétales de la vieille Europe aux cités-mères, de Catal Hüyük aux temples de Göbekli Tepe, des mégalithes de Malte à celles de Stonehenge, puis des mythes du Japon à ceux de la Mongolie, de ceux de l’Egypte à la Scandinavie, de la Grèce aux Amériques, de Sumer à l’Irlande, l’auteure nous propose un voyage dans la symbolique des figures du Féminin et du Masculin. Elle nous permet de suivre un changement de paradigme. Elle nous révèle le glissement des sociétés matristiques aux dictas du patriarcat et les perceptions du monde qui en découlent par les substrats psychiques que nous développons.

D’une Grande Déesse des origines, le féminin chute jusqu’à devenir Parèdre, Mère, Sorcière, Oiseau de malheur. De l’Homme Vert, Sorcier, Fils Taureau, Fils Amant, Dieu Lune, le masculin s’enlise dans les ornières d’un sacrifice sanglant et cruel.

Ce que nous dit ce fil de l’histoire c’est que même gravées dans la pierre, les croyances ne sont pas immuables et nous avons notre propre responsabilité dans la manière dont nous les agissons.

Ce livre n’a pas seulement le mérite de mettre au jour les premiers récits mythologiques de l’humanité, il possède également une  forte dimension politique et émancipatrice.

Olivia Gazalé


Parus aux Éditions du Cygne  2016 (collection les mythes revisités) :


 Alfred Jarry : critique littéraire et sciences à l’aube du XLe Féminin Solaire dans la mythologie
Etude comparée de La Courtise d’Etaine (Irlande) et de La Caverne Céleste (Japon)

Avant – propos d’Anne Bernard Kearney
Postface de Florence Quentin 

ISBN : 978-2-84924-432-6

14 x 21 cm
176 pages
18,00 €

De nombreuses déesses, comme Isis, Ishtar ou Sol, et de nombreuses héroïnes comme Iseult, Grainné, Guenièvre, contiennent la trace d’un féminin solaire.
Elles ne sont pas les reflets lunaires, mais de flamboyantes figures capables d’enchanter le monde. Dans ces mythes, le féminin apparaît souverain, créateur, et le masculin, chevalier de la lune. Leurs épopées sont autant d’initiations et de métamorphoses qui les amènent à la réalisation de leur essence divine — bien avant les inversions que nous connaissons. A travers l’analyse de La Courtise d’Etaine, figure majeure de la mythologie irlandaise ancienne, et de la déesse Amaterasu-ô-mi-kami dans le mythe japonais de La Caverne Céleste, cet ouvrage nous permet de suivre pas à pas ces Soleils-Femmes dans leur confrontation avec l’Animus Lune, leurs métamorphoses et les parallèles que nous pouvons faire avec les méandres de notre âme. Les vieilles déesses porteuses de lumière, représentent la possibilité de renouer avec la nature de la psyché telle qu’elle se mouvait dans les temps les plus anciens mais que, dans leur éternelle réalité, nous pouvons aujourd’hui faire émerger comme un soleil de Vie et de Joie.

TABLE DES MATIÈRES

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Chez votre libraire ISBN : 978-2-84924-432-6

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Aux Éditions du Cygne, avril 2014 (collection les mythes revisités) :

1couv_fcelteLA FEMME DANS LA SOCIÉTÉ CELTE
Préface de Michel Cazenave

180 pages – 14 X 21 broché
978-2-84924-358-9 – 18,00 euros

La femme n’a pas toujours et partout été considérée comme un sous – homme, mineure et aliénable. Elle n’a pas toujours eu à s’exprimer faible, soumise et dépendante. Elle n’a pas toujours été le seul reflet changeant de la lune. A l’heure du XXIème siècle où se posent tant de questions sur le genre et la nature du féminin, une étude sur la condition de la femme dans la société celtique traditionnelle et une compréhension nouvelle de son profil psychique à travers la lecture des mythes peut nous révéler bien des surprises.

Que le féminin puisse réellement rimer avec – égalité – aux yeux d’une société. Qu’il puisse avoir des particularités aussi lumineuses que sombres, aussi fortes que mystérieuses, c’est l’étude que nous propose cet essai pluridisciplinaire. De nombreuses références étayent l’ouvrage, tant sur le parcours historique et mythologique que psychanalytique (B. Grould, I. Gratacos, A. Audibert, C. Guyonvarc’h et F. Leroux, R. Pernoud, N. Cohn, J. P. Roux, G. Duby, M. L. Von Franz, C. G. Jung, E. Parmentier, C. Pinkola Estès, Y. Verdier, V. Kutra, etc.). Il s’agit de découvrir que dans notre héritage archaïque se trouve l’exemple d’une réalité féminine nous permettant d’oser un autre regard, une autre réflexion, sur le féminin contemporain.

TABLE DES MATIÈRES 

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Aux Editions Stellamaris  10 juillet 2014

L’ENFANT SUR LA MONTAGNE (Récits)

72 pages au format 15 X 15 broché
ISBN 978 – 2 – 36868 – 295 – 1
10 €

Couverture L'enfant sur la montagneQuelques un des instants les plus délicieux de mon enfance, en Gironde et en Couserans Pyrénées,  contés, libres et légers, à mon petit – fils.

[…]Les perspectives architectes lancent leurs ailes dures sur l’horizon bouché. Ici il y a du gris et puis encore du gris, du béton et du bruit.
Une envie, un besoin essentiel trouve place en moi. Moi quand j’avais ton âge je courais dans les bois, furieusement heureuse.

« Soudain j’ai presque peur. Tous mes plus beaux bonheurs, les plus grandes des joies, sont liés à des choses que tu ne connais pas. Comment les connaîtrais-tu,-toi qui vis aujourd’hui ? Elles s’effacent et s’oublient, elles deviennent « autrefois ». Elles deviennent vieillottes. Elles font rire et moquer. Mais je te jure, enfant, que dans ces choses là j’ai puisé des bonheurs, des forces, des secrets, qu’aucun de nos modernes autours ne pourront plus jamais t’offrir, te montrer.[…] »

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LES SAISONS GAULOISES (Roman)

Les Saisons Gauloises

Les Saisons Gauloises Editées chez EDILIVRE

 « De la terre se levaient ces brumes du soir qui enveloppent tout d’un halo de mystère, d’un insondable oubli. L’humidité alourdissait l’air comme la tristesse pèse sur l’âme avant qu’elle ne s’ébroue.
L’hiver avançait à grands pas.
L’odeur piquante des fougères et des mousses se mêlait à celle plus musquée des champignons gâtés et les bois s’effilochaient vers la lande, ondoyante et furtive, qui s’élançait vers la mer. Tout près des chênes, à l’abri de leurs sombres ramures, la touta [1] des Vénètes s’installait dans l’hiver, s’apprêtait à la nuit. »

« […]Cédant sous la douleur, il sombra dans le silence, il regardait le petit visage en pleurs, la peau douce et veloutée, les joues rondes de l’enfance à peine fuyante, le petit nez volontaire, et les yeux noirs, profonds, les yeux de Dana. Une douleur atroce monta en lui, une intolérable souffrance, une agonie sauvage. Vercarrus se mit à pleurer sans bruit, laissant son fils poser son front d’enfant frais contre le sien comme si leurs esprits par ce geste pouvaient se fondre ensemble »

[1] Tribu en gaulois

Les Saisons Gauloises ont été écrite entre 1996 et 1999. Une première auto – édition a permis de vendre l’ouvrage en quelques mois. Malgré le peu de communication faite à son sujet, le livre est rapidement en rupture de stock, un seul article dans le journal et un seul passage à la radio suffisent à l’épuiser. Cette deuxième édition, un tantinet revue, ne peut que ravir un lectorat en attente de style clair et léger, portant notre rêverie au de là du temps et de l’histoire.

Roman tramé sur des faits historiques (guerre des Gaules, Vercingétorix …) et des vérités du monde gaulois (10 ans de travail de recherche), qui entre plusieurs niveaux de lecture, sensibilise à la nature humaine (homme, femme, enfants…), engendre une quête spirituelle (la grande Déesse Dana) … Il se veut surtout être écrit dans ce pur esprit celtique, qui sait habilement mêler le rêve et la réalité, le mythe et l’histoire.

Lire un extrait

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Style et rêverie, histoire et enchantements, se mêlent pour vous faire partager la passion
(François)

... que ton manuscrit est splendide,
je rêvais qu’un jour quelqu’un écrive un texte de cette qualité, qui relate avec tant d’émotion la vie de cette période tragique de notre histoire….
(Helène)

Tu fais des merveilles. J’ai beaucoup apprécié ton style, d’une lecture très attractive, très vivant et descriptif (dans tous les genres)
(Christelle)

J’aime beaucoup,on dirait que cela a été vraiment vécu
(Charlotte)

Tu as trouvé la clé du sublime système
Dompté, dressée, calmée, ta plume autoritaire
Sait faire enfin régner un calme salutaire
tes chevaux sont ailés, tes soleils éclaboussent
tes blés en blond doré font
une moisson douce
tes chants montent au ciel
tes voix nous éternisent
tes maux exorcisés, perdent de leur hantise
(Pierre)

Je relirai ce livre, pour toute la poésie,
il s’en dégage quelque chose de magique
que je n’ai jamais trouvé dans un autre bouquin
(Anne)

Style alerte, maitrisé, imagé, sensitif
(Alexandre)

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CHEVEUX DE FEMMES ( Récits)

cheveux

Dans un style rapide et particulier, Sylvie Verchère Merle aborde trois récits de femmes dont la chevelure supportera la trace de leur humiliation. C’est à la fois un cri contre le traitement particulier qui est parfois réservé aux femmes, mais aussi un témoignage de la stigmatisation faite de leur chevelure, symbole de leur féminité, de la force de leur identité propre. Touchant à trois contextes politiquement opposés, le thème se répète quasi identique, donnant une forme universelle à ces cicatrices émotionnelles que sont les gestes avilissants. Il ne s’agit pas de crier halte à l’homme, qui y est rencontré avec sensibilité et tendresse, mais un large cri à l’attention de l’humanité entière. Cette humanité, qui si elle peut s’unifier dans l’horreur, peut sans aucun doute s’unir aussi dans la force, la joie et la liberté. Un ouvrage dur, sensible et juste, qui pousse à réflexion.

  • Bronia et Gerhard Allemagne 1941
  • Gerti Berlin 1945
  • Gisèle France 1945

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